Italie, Slovénie, Croatie, Monténégro, Grèce

Le plus grand port de l’Adriatique, à la frontière de la Slovénie, n’est devenu italien qu’en 1919. Trieste est une cité moderne, au pied de la colline Saint-Just où se concentrent les monuments anciens. Ne manquez pas la cathédrale S. Giusto : deux basiliques romanes réunis au 14ème siècle, désormais symbole de la ville et visitez le château. Pour ceux qui s’intéressent à l’archéologie, le théâtre romain est le site le plus impressionnant.

Zadar est une municipalité de Croatie située au nord de la Dalmatie. Ville construite sur une presqu'île, elle comprend une partie vouée à la visite, accumulant petites ruelles, jolies églises et ruines archéologiques. Les pavés blancs, polis par les promeneurs, dégagent une ambiance presque irréelle. L'église Saint-Donat et Zadar Cathedral ravissent les passionnés d’architecture. On peut aussi aller visiter l'île Osljak.

Au sud-ouest du Monténégro, la vieille ville de Kotor est entourée d’une impressionnante muraille de défense. Entre 1420 et 1797, Kotor et ses environs dépendaient de Venise. Cette présence se remarque dans la structure et l’architecture de la ville. Les bouches de Kotor s’ouvrant sur la mer Adriatique, sont considérées comme le seul fjord de Méditerranée. Aux deux extrémités des bouches de Kotor, les montagnes de Lovcen et Orjen (1894 m) forment un ensemble naturel protégé et de vaste ampleur.

Corfou se trouve à l’extrémité Nord de la mer ionienne, à l’embouchure de l’Adriatique. Très verdoyante, plantée de cyprès et d’oliviers, elle conserve un style plus italien que grec et l’influence vénitienne y est encore très présente, surtout dans la ville de Corfou avec la piazzetta et les fortifications du château. Ne manquez pas de visiter le monastère des Vlachernes ou Pondikonissi ainsi que le palais de Sissi à Kanoni. C’est un lieu idéal pour les plaisanciers avec ses principales baies d’Ypsos, de Garitsa, la lagune de Chalikopoulou et Mantoukiou, qui est aussi le port de plaisance le plus fréquenté.

Argostoli est la capitale de Céphalonie appartenant à l’archipel des îles ioniennes. L’île subit un violent séisme dans les années 1950 qui emporta son passé vénitien. Reconstruite, elle offre beaucoup de charme grâce à sa végétation luxuriante, ses belles plages de sable blanc, ses criques dont la grotte bleue et son port qui accueille de nombreux voiliers, sa campagne environnante et ses villages pittoresques avec des maisons aux couleurs ocres et pastels.

Ville principale de la Côte amalfitaine, elle est essentiellement connue historiquement pour avoir hébergé le roi d’Italie, qui avait fui Rome en 1943 après que l’Italie ait négocié la paix avec les Alliés pendant la Seconde Guerre Mondiale. Visitez les ruines grecques de Paestum située non loin de Salerne.

La ville portuaire de Civitavecchia est située à une heure de la capitale de l’Italie. Aucune autre ville que Rome ne peut s’enorgueillir de tant de richesses historiques : les innombrables ruines fabuleuses, les temples impériaux… sans oublier les tombes étrusques, les églises des premiers chrétiens, les clochers médiévaux, les palais Renaissance et les basiliques baroques.

Une croisière en mer offre un moment de détente et d’évasion. Entre le panorama qu’offrent la mer et le ciel, et les rencontres inouïes en cours de navigation, c’est un voyage riche en découvertes. 

Depuis les terrasses de la basilique Notre-Dame de la Garde, qui domine et veille sur la cité, Marseille offre au regard une mosaïque inattendue de constructions et de monuments. Près du port, les tours de l’abbaye de Saint-Victor abritent les cryptes qui ont vu naître la chrétienté en Provence. Non loin du Vieux port, animé et très coloré, les ruelles du quartier du Panier dotent la cité d’un charme incontesté.

Barcelone est une ville médiévale bien conservée avec des parcs, des musées et une vie nocturne intense. La capitale de la Catalogne est ainsi fière de l’architecte Antoni Gaudí et de ses oeuvres, l’église de la Sagrada Família, la Casa Milà ou encore le Parc Güell. Barcelone n’a pas oublié non plus les oeuvres du jeune Picasso, les obsessions d’un Miró ou d’un Tàpies.